LES MAITRES DE L'ORNEMENTATION TOME 3: LE STYLE LOUIS XV LES MAÎTRES DE L'ORNEMENTATION CHEFS-D'ŒUVRE DE LA GRAVURE PUBLIÉS PAR PETER JESSEN TOMES LE STYLE LOUIS XV LE STYLE LOUIS XV 200 GRAVURES D'ORNEMENT PUBLIÉES PAR PETER JESSEN ARMAND GUÉRINET, ÉDITEUR 140 FAUBOURG SAINT-MARTIN, PARIS suie par JioT^ie^ ûrai>e^jxir ùcIiUh,Ft U Fortraic <&LRoi^ajtj)ar leJfir&j. Celui qui désirerait étudier sur place ce qui est venu jusqu'à nous des chefs-d'œuvre du style Louis XV, devrait entreprendre de grands voyages. A Paris, où fut le berceau de ce style spirituel, il ne trouverait que de faibles vestiges des anciennes splendeurs: ce n'est qu'à Versailles et à Fontainebleau que lui apparaîtront des exemples classiques d'intérieurs royaux. Il lui faudra aller à Nancy pour admirer le chef-d'œuvre du fer forgé français, et à Lisbonne ou à Saint-Pétersbourg, pour voir ce qui subsiste de la merveilleuse argenterie de l'époque, à moins, toutefois, que ces restes n'aient sombré dans la tourmente des dernières années. S'il désire se rendre compte de l'harmonie à laquelle le style Louis XV sut atteindre dans ces édifices, où tout, l'intérieur et l'extérieur, la décoration et la construction, semblent être d'un seul jet, le voyageur devra quitter la France et se transporter en Allemagne, à Brùhl, Bruchsal, Ansbach, Wûrzbourg, Munich et Potsdam, pour y visiter les somptueux châteaux où, jadis, résidaient les princes ecclésiastiques ou sécuHers du Saint-Empire. Si, enfin, il veut se faire une idée complète des meubles dont on se servait usuellement, il devra passer le détroit et parcourir le pays de Chippendale et de ses émules. Mais ce n'est pas tout que de s'être arrêté devant ces merveilles: pour bien les comprendre, il faut pénétrer le secret de leurs origines, connaître le milieu qui les vit éclore et la mentalité de leurs créateurs. Les formes du style Louis XV, ces formes dont l'incomparable élégance et l'originalité harmonieuse nous frappent d'une admiration toujours nouvelle, si elles se sont développées sur les chantiers et dans les ateliers, elles n'y sont pas nées. Les yeux intelligents et les doigts habiles des maîtres artisans n'ont fait qu'exécuter des sujets inventés par le cerveau fertile d'artistes qui ne maniaient pas eux-mêmes le ciseau ou le rabot, le marteau ou la navette: architectes, peintres, dessina- ^.oz^^-^ teurs de la Cour, membres de l'Académie, souvent porteurs de noms célèbres dans le monde entier. Ce furent eux les créateurs de la mode architecturale et décorative, les véritables maîtres de l'ornementation. Tous, ils avaient passé par la sévère école des cours »de dessin de l'Académie, et leur virtuosité à manier le crayon, la plume, le pinceau, la craie, était la même pour les ornements que pour les académies ou les tableaux. Leurs dessins avaient pour eux une autre signification que celle de sèches études ou de notes jetées hâtivement sur le papier. Ils soignaient leurs esquisses au point d'en faire des œuvres d'art accomplies et remplissaient leurs cartons de feuilles d'une valeur artistique durable. De telles feuilles trouvaient des amis et des acheteurs. Les collectionneurs de l'époque estimaient autant un panneau de Watteau ou une esquisse d'éventail de Boucher, qu'une étude d'après nature ou une grande composition à figures, car ces essais exprimaient ce à quoi tendait la joyeuse société d'alors, la grâce légère, la liberté égayée, l'élégance raffinée, et un enthousiasme sentimental, mais un peu factice, pour la nature. Par bonheur, ces rêves charmants n'ont pas été condamnés à moisir dans les cartons des amateurs. Quiconque avait le courage de les reproduire et de les lancer dans l'acti- vité ouvrière des ateliers d'art, pouvait compter sur la gloire et le gain. Depuis la fin du moyen âge, les graveurs avaient pris à tâche de fournir des modèles aux métiers: en feuilles éparses, d'abord, et ensuite en séries plus ou moins nombreuses. Ces „gravures ornementales", peu à peu, étaient devenues l'objet d'une industrie lucrative, qui florissait dans des ateliers spéciaux, dont les ouvriers, après s'être contentés d'exécuter des dessins de leur propre invention, s'étaient mis de bonne heure à copier les œuvres d'artistes renommés. De tels graveurs devaient accueillir avec joie les dessins soignés des maîtres de l'art décoratif du XVIII^ siècle. Des éditeurs entreprenants, familiarisés avec le burin et l'aiguille à graver, étaient tout prêts à s'inspirer des nouvelles idées, afin de les répandre au loin par d'admirables gravures sorties de leurs propres mains ou de celles d'habiles compagnons. Ce qu'entre les années 1720 et 1750, ces délicats interprètes ont exécuté d'après les vigoureuses esquisses des Oppenordt, Meissonnier et leurs contemporains, sont des feuilles graphiques du plus noble caractère. Le plus génial de ces interprètes, Gabriel Huquier, était un collectionneur passionné de dessins de toutes sortes et en a publié des milliers, non plus par feuilles éparses, ou réunies en petites brochures minces, mais formant d'imposantes collections de puissants volumes in-folio. Ce qui distingue avant tout les gravures sorties de son atelier, c'est la fidélité avec laquelle elles repro- duisent, jusque dans ses moindres nuances, le caractère des originaux. C'est ainsi qu'à l'époque de Louis XV, la gravure d'ornement a pris un essor sans précédent, et qu'elle est arrivée, pour ainsi dire, à jouer le rôle de premier violon dans l'admirable orchestre des arts de l'époque. Ce qu'à Paris les maîtres composaient et les graveurs interprétaient, c'étaient moins des modèles pour tel ou tel métier que des œuvres traduisant des idées générales, et dont pouvaient s'inspirer, pour leurs travaux spéciaux, les peintres, les sculpteurs, les orfèvres, les brodeurs etc. C'est là que les artisans trouvaient à profusion des motifs d'ornementation de toute espèce et dans le goût du jour: jeux gracieux de lignes et d'accents plastiques; coquillages et plantes exotiques, entremêlés de figures, d'allégories, de petits amours et d'animaux; panneaux imitant les grotesques antiques ou représentant des paysages avec, comme accessoires, des bâtiments de construction fantastique. Et, point caractéristique à noter: toujours, l'encadrement et le sujet représenté sont intime- ment liés; les figures et les ornements, inséparablement entrelacés. Ces pièces, tel un miroir fidèle, reflètent toute l'évolution de l'ornement Louis XV. Cet ornement puise à deux sources différentes. L'une d'elles, c'est le classicisme de l'époque de Louis XIV, dont la rigidité rectiligne s'adoucit, s'assouplit entre les mains de quelques artistes de premier ordre; l'autre fut la réaction qui avait commencé à se dessiner dès les dernières années du vieux roi, et qui se traduisait par une tendance de plus en plus accentuée vers l'émancipation de toute contrainte, par une prédilection croissante pour les rythmes violents du style baroque, qui régnait encore en maître dans l'art italien. Les créateurs des formes nouvelles ne restèrent étrangers ni à l'un ni à l'autre de ces mouvements, et c'est en empruntant à chacun d'eux ce qui était conforme à leur génie, qu'ils arrivèrent à résoudre, dans leurs œuvres, à des degrés différents, le problème si difficile d'unir la discipline et la liberté. De ces hardis novateurs, tous n'étaient pas Français de naissance. Le premier pionnier du nouveau goût, Gille-Marie Oppenordt, architecte du Régent, était d'origine hollandaise et avait passé les années décisives de sa jeunesse à Rome. Plein des souvenirs que lui avait laissés le Baroque romain, il se fit, dans ses constructions, ses décorations et ses ornements, l'apôtre de la nouvelle liberté. La virtuosité de ses dessins est presque sans égale. Il maniait la plume comme une rapière. Les volumes où Huquier a réuni les reproductions de ses esquisses, comptent parmi les plus précieuses publications de cet éditeur. A côté de Oppenordt, les peintres -décorateurs de la Régence suivent la tradition française. Ce que Jean Bérain, le célèbre dessinateur de la cour de Louis XIV, avait imaginé en lignes courbes agrémentées de figures et de feuillages et pouvant s'adapter à tous les besoins de la décoration, aux meubles qui sortaient de l'atelier d'André-Charles Boulle, aussi bien qu'aux panneaux, aux tapisseries, aux grilles et aux parterres des jardins, tout cela se continue dans les jeux de lignes de Claude Gillot et de son grand élève Antoine Watteau. Gillot, dessinateur du Roi et successeur de Bérain, fut l'auteur d'in- nombrables esquisses à la plume et à la sanguine, dont, de sa pointe fine et gracieuse, il a reporté lui-même une partie sur la plaque de cuivre. Ce qu'il avait rêvé, le grand Watteau l'a accompli avec sa grâce inimitable. Chez ce dernier, dans l'ornement comme dans la peinture, l'élément flamand de son génie s'est fondu sans reste sous l'action du milieu français où il vivait à Paris. Pendant de longues années après sa mort prématurée, survenue en 1721, les séries de ses projets décoratifs, gravées par les mains expérimentées de Gabriel Huquier et de ses disciples, ont exercé une profonde influence sur les ateliers des artisans de tous les métiers. Lorsque, en 1723, la Régence prit fin, il y avait déjà quelque temps que s'était fait remarquer, à Paris, l'homme qui, pour une longue période, devait mettre à l'art français l'empreinte de son tempérament ardent. Juste-Aurèle Meissonnier n'était pas architecte, mais orfèvre. Doué d'une imagination exubérante, apparemment plutôt italienne que française, — il était né à Turin — il proscrivit la convention classiciste du style Louis XIV, ses lignes droites, ses courbes modérées, et même son respect de la symétrie. Tout en s'appropriant l'arsenal des formes inventées par les Bernini et les Guarini, les cartouches, les profils en branle, etc., il en multiplia les excentricités en y ajoutant des formes sug- gérées par la nature, telles ces plantes, ces rocailles et ces coquillages qui, durant toute une génération, furent en vogue dans l'art décoratif de toute l'Europe. Avec la même . audace et avec le même succès, il toucha à tous les problèmes, à l'argenterie comme au meuble, à la décoration aussi bien qu a l'architecture profane ou sacrée. Les artistes et les artisans de toute une génération ont vécu de ses idées, dans sa patrie et à l'étranger. Comme tous les autres, les peintres se soumirent docilement à l'autorité de ce puissant génie. François Boucher, le grand-maître incontesté de la peinture française du XVIII ^ siècle, non seulement fut de ses intimes, mais dans une certaine mesure, son élève, ce qui se voit à ces encadrements où Boucher accentue par des ornements de rocaille les lignes délicates de Watteau. Boucher a montré le chemin à une pléiade de con- temporains notables, Lajoue, Mondon, Peyrotte et d'autres. La verve enjouée de ces artistes mêlait volontiers aux ornements certaines figures en vogue auprès du public de l'époque: dans leurs œuvres, les bergers galants et les bergères coquettes alternent avec les Pierrots, les Colombines et d'autres personnages de l'Opéra- Comique et des théâtres de la Foire. D'une grande faveur jouissaient aussi, outre les Turcs aux costumes bizarres, les habitants de cette Chine fantastique que l'imagination des gens du XVIII^ siècle s'était forgée sur la foi des rares images apportées d'Extrême-Orient en France. Tout ce monde exotique prend gaîment ses ébats dans les eaux-fortes d'un artiste qui a travaillé principalement en vue de fournir des modèles aux tisseurs de la, soie. Dans l'œuvre étendue de Jean Pillement, telle qu'elle nous a été transmise par des burinistes de premier ordre, on ne se lasse pas d'admirer la fertilité d'une imagination qui s'exerce sur les fleurs, les paysages et les figures de la Chine, sans jamais s'épuiser et avec un bonheur toujours égal. Bien que Pillement ait passé une partie de sa vie à Londres, il n'y a perdu aucune de ses qualités, et il est resté le représentant de tout ce que, dans l'ornement, il y a de plus français. En général, cependant, le style Louis XV change de caractère aussitôt qu'il franchit les frontières de son pays natal. Même les artistes de naissance et d'éducation française, qui vont le porter à l'étranger, comme p. ex. François Cuvilliès, architecte de la cour de Munich, ne réussissent pas, à la longue, à se soustraire à l'influence de leur patrie d'adoption. C'est aussi que bien des conditions qui, en France, favorisaient le développement du style Louis XV, n'existaient pas dans les autres pays. En Allemagne, l'art n'avait pas été soumis à la forte discipHne du classicisme. Le style Régence y avait passé presque inaperçu. Grâce à l'appui qui lui venait d'Italie, le Baroque, dont le pathétique convenait bien au génie allemand, avait continué à régner en maître jusque vers 1740. La réaction ne vint qu'à l'époque où, à Paris, le style Louis XV touchait déjà à sa fin. L'exemple donné par Gillot, Watteau et les sobres conceptions des architectes de pur sang parisien, fut perdu pour les ornemanistes allemands: portés, d'ailleurs, de par leur tempérament, à des audaces allant jusqu'à l'extravagance, ils se lancèrent d'emblée dans l'imitation des hardiesses des Boucher, Lajoue, et Mondon. Ce n'est pas à dire qu'ils aient été dépourvus d'idées propres, mais il leur manquait les occasions de donner libre carrière à leur talent, forcés qu'ils étaient par le besoin de travailler pour des éditeurs d'Augsbourg et de Nuremberg, qui dans l'intérêt de leur commerce, ne commandaient que des motifs généraux, cartouches, entourages ou autres pièces susceptibles de servir aussi bien sur les échafauds des décorateurs que dans les ateliers des ébénistes et des orfèvres. A tourner ainsi dans un cercle étroit de sujets, toujours les mêmes, l'artiste risque de tomber dans l'exagération ou la banalité: aussi les ornemanistes d'Augsbourg et de Nuremberg ne surent-ils pas toujours éviter ce danger. Un seul y a échappé: l'Augsbourgeois I.-E.Nilson, à qui son double talent de peintre et de buriniste a permis de reporter lui-même sur le cuivre ses spirituelles et gracieuses créations et, par suite, défendre son indépendance contre les marchands de gravures. A peu près toute l'activité des inventeurs d'ornements s'est concentrée dans les deux grandes villes marchandes du Sud. Dans le reste de l'Empire, on ne trouve guère qu'un seul ornemaniste digne d'être mentionné: le Saxon Jean-Michel Hoppenhaupt. Ce sculp- teur habile, qui sous la direction de l'architecte von Knobelsdorff travaillait à la déco- ration des châteaux de Frédéric II, paraît avoir été capable de dessiner lui-même des projets d'architecture et d'ornementation, qui témoignaient d'un don d'invention et d'une finesse de goût fort remarquables. Il eut la chance de trouver dans la personne d'un jeune amateur, Jean-Guillaume Meil, qui, plus tard, devint un graveur renommé, un aide précieux, et de la collaboration de ces deux hommes sortirent plusieurs douzaines de planches, en partie de grand format, qui auraient été dignes de prendre rang parmi les meilleures productions de l'époque. Mais, n'ayant pas été mises dans le commerce, les épreuves tirées de ces planches restèrent inconnues du public et tombèrent dans l'oubli. Contrairement à ce qui avait lieu en Allemagne, les architectes anglais, tout en con- tinuant à suivre, dans leurs constructions, la tradition du classicisme national, abandon- naient aux artisans le soin de décorer les intérieurs, de façonner les meubles et les objets d'art. A la place d'artistes, ce furent donc d'industrieux et entreprenants artisans, tapis- siers ou ébénistes, qui publièrent, comme une sorte de catalogues, des articles qu'ils tenaient à la disposition du public, des volumes renfermant des dessins de meubles, d'ouvrages en bronze, de fragments de décorations, etc. La première de ces collections est due à un tapissier, homme d'affaires plutôt qu'homme de goût, Thomas Chippendale, dont l'exemple ne tarda pas à être imité par des concurrents. Les gravures réunies ainsi se caractérisent par la désinvolture avec laquelle elles mêlent et combinent les éléments les plus disparates, motifs rocaille, chinois et gothiques. Ces assemblages de styles hétérogènes, fort curieux par eux-mêmes, prennent un intérêt d'actualité du fait qu'ils font penser à des tendances analogues qu'on peut constater dans l'art de nos jours. L'Italie n'est représentée dans notre recueil que par quelques spécimens choisis au hasard, étant donné que, dans ce pays, le style baroque a prolongé son règne jusque après l'année 1750. Au delà des Alpes, la tradition du XVIII ^ siècle était restée trop vivace pour que le goût pût s'y accommoder facilement à l'art nouveau qui allait conquérir, l'un après l'autre, les pays du Nord. Ce sera le but d'un autre volume du présent ouvrage de réunir tout ce que le génie méridional a produit de créations remarquables dans l'art de la gravure décorative. Qu'il nous soit permis, en terminant, d'attirer l'attention de ceux de nos lecteurs qui désireraient acquérir une connaissance plus approfondie du style Louis XV, des différentes phases qu'il a traversées et des maîtres qui l'ont illustré, sur un ouvrage précédemment paru et intitulé: Der Ornainentstich, eine Geschichte der Vorlagen seit dem Mittelalter, par Peter Jessen (Berlin 1920, Verlag fur Kunstwissenschaft). .-:Sa TABLE DES PLANCHES AMICONI, GIACOMO, Venise, 1675 — 1752. L'original de la planche 194 fait partie d'un cahier représentant les quatre éléments. PI. 195: cahier de tableaux bibliques. PI. 196, 197: les arts. PI. 198, 199: les quatre parties du monde. pi. 194 — 199 BERGMULLER, GOTTFRIED-BERNHARD, Augsbourg, 1688 — 1762. Les tempéraments, les quatre saisons. pi. iio, iii BLONDEL, JACQUES -FRANÇOIS, Paris, 1705 — 1774. Jean Mariette, architecture françoise, 1727. pi. 26 BOFFRAND, GERMAIN, né à Nantes 1667, f à Paris 1754. Livre d'architecture, 1745. pi. 84, 85 BOUCHER, FRANÇOIS, Paris, 1703— 1770. Pi. 40—43: feuilles éparses. PI. 44—4?: Hvre de cartouches. PI. 48, 49: recueil de fontaines. PI. 50 — 53: livres de groupes d'enfants, pi. 40 — 53 BOULANGER, Paris. Nouvelles décorations d'apartemens. pi. 86, 87 BRISEUX, ETIENNE, Paris, 1680 — 1754. Traité du beau essentiel dans les arts. pi. 80, 81 CHEDEL, QUENTIN-PIERRE, Paris, 1705—1760. Fantaisies nouvelles. pi. 93 CHIPPENDALE, THOMAS, f à Londres 1779. Le guide du tapissier, de l'ébéniste et de tous ceux qui travaillent en meubles, troisième édition, Londres 1762. pi. 174 — 179 CRUSIUS, GOTTLIEB-LEBRECHT, Leipzig, 1730— 1804. Capricci, parte I. pi. 168, 169 CUVILLIÈS, FRANÇOIS DE, né à Soignies 1695, t à Munich 1768. Pi. 66, 67: livre de pa- neaux. PI. 68, 72: livre d'ornements. PI. 69 — 71: livre de décorations de lambris. PI. 74, 75, ']^\ livre de serrurerie. pi. 66 — 72, 74, 75, ']'] EISEN, CHARLES, né à Bruxelles 1720, f à Paris 1778. Premier livre d'une œuvre suivie con- tenant différents sujets de décorations et d'ornemens, 1753. pi. 82, 83 GILLOT, CLAUDE, né à Langres 1672, f à Paris 1722. PI. 8, 9: livre de portières. PI. 10: fêtes des dieux. PI. 11: la vie d'un Satyre. pi. 8 — 1 1 GIRARD, ROMAIN, Paris. Autre suite (de leçons d'ornemens dans le goût du crayon), pi, 106, 107 GLAZIER, Londres. Livre de glaces. pi. 173 GOZ, GOTTFRIED-BERNHARD, né en Moravie 1708, f à Augsbourg 1774. PI. 112— 116: les cinq sens. PL 117: les vertus et les vices. PI. 118, 119: les quatre saisons. PI. 120, 1 2 1 : fontaines. pi. 112 — 121 HABERMANN, FRANZ-XAVER, né à Glatz 1721, f à Augsbourg 1796. Différents cahiers d'ornements. pi. 152 — 159 HOPPENHAUPT, JOHANN -MICHAEL, né à Mersebourg 1709, travaillait à Potsdam. Feuilles éparses. pi. 122 — 139 HUET, CHRISTOPHE, f à Paris 1 759. A New Book of Hunting Trophies, London 1755. pi. 88, 89 HUQUIER, GABRIEL, Paris, 1695 — 1772- PL 75, 76: nouveau livre de serrurerie. PL 78, 79: premier livre de nouveaux caprices d'ornements. pi. 73, 76, 78, 79 INCE AND MAYHEW, Londres. The UniversalSystemofHouseholdFurniture,London. pl.i 80-1 89 KLAUBER, JOHANN-SEBASTIAN et JOHANN -BAPTISTA, Augsbourg. Les quatre élé- ments. pL 170, 171 LAJOUE, JACQUES DE, Paris, 1687 — 1761. PL 54, 55: premier livre de divers morceaux darchitecture, paysages et perspectives. PI. 56, 57: cahier 4 et cahier 2 de la même suite intitulés: livre d'architecture, paysages et perspectives. PI. 58: nouveaux tableaux d'orne- ments et rocailles. PI. 59: feuille éparse. pi. 54 — 59 LOCK, MATTHIAS, Londres. Livre de glaces. pi. 172 MAITRE C. L., Italie. Raccolta di disegni d'ornati di nuova invenzione. pi. 200 MAÎTRE INCONNU, probablement Italien. Modèles d'éventails. pi. 190 — 193 MEISSONNIER, JUSTE-AURÈLE, né à Turin 1693, f à Paris 1750. Œuvre, première partie, exécutée sous la conduite de l'auteur. pi. 30 — 39 MONDON LE FILS, Paris. PI. 61, 62: troisième livre de formes cartels et rocailles ornés de figures de modes. PL 60, 63: sixième livre de formes rocailles et cartels ornés de figures françoises. pi. 60 — 63 NILSON, JOLi ANN-ES AIAS, Augsbourg, 1721 — 1788. Œuvre suivie, publiée en cahiers, pi . 1 40— 1 5 1 OPPENORDT, GILLE-MARIE, Paris, 1672—1742. PL 1 — 3: Livre de différents morceaux. PL 4 — 7: Œuvres. pi. i — 7 OUDRY, JEAN-BAPTISTE, Paris, 1686— 1755. Recueil de dessus de portes. pi. 90, 91 PEYROTTE, A., Paris. Divers ornemens. pL 64, 65 PIERRE, JEAN -BAPTISTE -MARIE, Paris, 17 13— 1789. Feuilles éparses. pi. 108, 109 PILLEMENT, JEAN, Paris et Londres, 1727 — 1808. PL 94, 95: suite de jeu chinois. PL 96, 97, 102, 103: recueil de différents panneaux chinois. PL 98, 99: suite de douze pécheurs et chasseurs. PL 100, loi: fleures persannes. PL 104: cahier de fleurs singulières. PL 105: cahier de cartels chinois. pi. 94 — 105 PINEAU, NICOLAS, Paris, 1684 — 1754. PL 27: décorations de panneaux. PL 28, 29: nouveaux dessins de lits. pi. 27 — 29 SAINT-AUBIN, CHARLES -GERMAIN DE, Paris, 1 721 — 1786. Cette pièce a probablement fait partie d'un cahier dont nous ne connaissons pas le titre. pi. 92 WACHSMUTH, JEREMIAS, Augsbourg, 17 12-1779. Difl"érents cahiers d'ornements, pi. 160-167 WATTEAU, ANTOINE, né à Valenciennes 1684, f à Paris 1721. Feuilles éparses, en partie publiées en cahiers. pL 12 — 25 La grandeur de l'original, mesurée en centimètres, est indiquée sur chaque planche. IMPRIMERIE EMIL HERRMANN SENIOR, LEIPSIC 0}^fy£-ncrL- tw<-'. < 1-^ Cli^t'C prunlea^ du ILox Hiujiiur iScuIp. ^'/ ax . OPPENOROT 32:23 Ovpc/wrl tn. 'uaui.cj~ cx,.CJClR. ■ OPPENORDT 32:23 Pi Oppenfrt- m. ■ Humilier ex. C-P.Ji OPPENORDT • 3 32:23 LXl KK Oppaionl inv Hut]uUr tio. nu S- Jac ^ OPPENORDT 25:39 .V, Ov>tî ^m^s^%^p Oillût uu^. ec^Jctdf. BACCUS QILLOT 30: 1") CrUL^L' t/lf. , -.Cl- Jculy. FLORE ^J'aru' r/w'C Uni^uù-r l'w-.i 2'A' /»■ ^u\i/id C/uitt^lctdiw yrn'.iin7i.i.n GILLOT 30: 19 OILLOT 10 2b: 34 OILLOT 11 22:37 -^ ffXiUt:au in v . Le ] Bouffon Htu/uier Sculy .-T*,u-u' cht'x Lt J^urc' Ile i'/i tc/^c'iiu rrti- S' ■/•.luii,-.'- aii.x- J.li.i- PMi.i:- ./iV- r/- ,/tf~ Bnjuie-r i-k- ^l \i.- le ^-rand CIuU-Uv av,\- Pff.-iù:'^- Jii /^. WATTEAU 12 32:20 ^± . Tf^tteaz4 inv . j.A Chas S EU SE -H u^^ nier Sciif ^uJ-ié c/i^^ i^ vei-ivo C/icrenu /ite J'^Juc^iucô attcc Jeux I^iHicrj- J'Oi- eC cfier^ S^tt^fitL'r vr.* uin'j L- iV\JnJ Cli.tULl mccTrivi! JiiT\.-.^ WATTEAU 13 32:20 WATTEAU 14 40 : 20 H^attcau Puioùt . A Parut c/ui^ 0^r^<-ai/t/- M' Pon(^ Notr^ Dain< cic/nrx. Sufuqtic rue i)c'( Maye*-s. P.yiveiinc, Scu^p. L'ENJOLEUR. ai>€C Prtz'ttf enlrce dcuij' ceite.. Gczlcer^^j? . Plarv dune dc\r c.vljvmdcs de /u G aile ne BLONDEL 26 31 :22 j2e<).^euf, a'e Che*ninee /mur un- Cc7n//,,'t c/oni'- ('a^n^/'e.i ejf-c/tui cÂe'! f.l,\/iu- ,tii ,\-iii ./<• .v//,- J.: J/.if/iimn.' <.'PR. MEISSONNIER 30 52:35 ^■1 Pari' chis ITtujuifr me SP\Tacijiu au ecin J<; celle dej- JKaffttuitu . >.' T II . MEISSONNIER 31 45:33 . L.i..HcwK itcx. <(/■'',:■.'> v.t/ ';wo<«j x./jyi. AAKISSONNIER 36 35:24 M Doitsunu In'^rc dco- Oeuvres deJAullesscmnia: ^. jHetijaiinur IjL\}rd lie Ciiandelie/\f de SculpUire en yîraent . ./^iiti^ r/h'i. Jfiii/uur ru^' Saint Jactiu^^'- au rt^m a*.' .v«.* .ïi**r _^Tét//tunfu'. C-^. S^y. Butjm^r. Scitip . MEISSONNIER 37 36:23 JA /'Ii^/.'.i-u.-'- UW S', AiGNAN EvÈqiŒ D Orléans Bas-rcLcf iU Sadfluf'e^ ôrv cuyait exécute^ peu- l'auteur sur IcbC/iasJ^ù deô.^Aignatv d'Orl^cuhf. p. Cké*ut Seuifi. MEISSONNIER 38 47 : 31 J). AiGNAN GUERISSANT ^GIUPF 13. L)- relief de Sculftiire etv dfyeat .Cizeaitù sur la clujs/e de S • jÛijnan lOrldins MEISSONNIER 39 48 ; 33 ir„.0'.ti.^,..: . A r I>. R BOUCHER 40 51 :26 F. Jiûuc/u-r J'i/hvi/ . t Rmf nu t/.%f JV.TViTj' ,1 la Jcii.n>nu- A'rtc vothcre a gauJie enlranl par li m.- Ji'Ja^^u ' 4 P Ji li /^. S\-uù>. BOUCHER 41 51 :2b ./iPiifU cJv\. /\- /,j,m,:. BOUCHER 42 51 : 2b fiiTuaT^r i/zfotiir .1 l'.m .h: J>.- I.,r TlUOiMPHE DE PlUAPK Jii Ry nu- .u.r A'cy^v.' j U a^ui.Tn/- P.'rtp r.'.fia-f .i .f^uich^ atù-aiit par li i Ù'.ei/-. nif^. AP J) R BOUCHER 43 52:26 F.Scmhrr- iutù BOUCHER 44 38:25 ^.jfLr cn^x. Mn.^uw- ru^. ^. ^'jc./u^ cJ BOUCHER 45 38:25 '-^^% BOUCHER 46 27:35 k BOUCHER 47 28:33 '.£ oucJujr'-Jn. cLve-c vrLvueqe du. P^oy BOUCHER 48 27: 17 J-. BaïuJwr.Irt œuec vru/dcxic du M^cy lUjuUr ex BOUCHER 49 27: 17 TSmJur ùw Bumiù/' ut- mt de^jVai^uirvu ■ C'-P- R-- BOUCHER 50 27:22 Mufzuôf ccc 7-ii£ ^i&f ^aatwinà CJ^A. ■ P- .^eiifw \fcuw BOUCHER 27:24 BOUCHER 52 21 -.ZS BOUCHER 53 23:31 JcU Lxjcu^ in .dvec ffrtinl du Jitn. ifujuitrScu^e^ex^- LAJOUE 54 32:27 J. e/tm ^au/p^ct. ■MONDON 23: 18 Aû^.r^In- dà^i Txuneav. d^ GUu-es. avec j-on Cotv-onmnx^tt ; et a^ld^^J■ou^. um grande TahL de marbr Ce Je.vem m fait vcir .jii^ /.' liant , ât /<' l-as Jr lu (TLice.:cn litv' JcTm-.'n-'jf un^ hauteur propcriionmi a sa laraeur. lu. Tablette Je marbre , ijuon peurvtt h'"^ plus Love . On peut supafer une jwtte de trumeaux de Ghxeef , pare'Ut u ce Uw marauJ A. l&t Pilasiru R.dûntonru vjtt^uj ta m£ntie',j-erûient repete^etttre Cluxeuns der d^ Trumeaux. ■ i»'ente pjr F. Jf CwiUC:'- C.T.&C.M. jrave par C.A..de LespiUù^ CUVILLIES 68 36:24 c.p. se JVt. .« m< />■ 19 -Lu- J^ùien. niche-, aux cottif ^lùfiui J'ont 'da^x éPieee^ 9c iapù-serie atcaârekr 'daru 9&/" oorBi^ej-- décorai ainirtnijrnjùrtb. dît vend a. ff'arif chez le. iSTÎoilb/ rue. cT. Satfwtf a. l'muue .' i.:V l .A..Ji L^jplllw j^/Jl'i' I.:V >'"^'-X CUVILl.lES 72 3b: 24 -^ Tarr^r cJu's Jluquier r^ue des Jlai/u(rincf au ccnn de ceUe de Joi'hûn/i^ CVJl- HUQUIER 73 33:21 CuvM'é- , Co^i^eili^f et ^rr/tîtecte de 5a .Maje.rté Imijet^lle de la. Térrxire pot^f l^r opcwtBrnatts . j^ . ffart^èiyns d^ s^-rtuv rupc^éé' par ,^^- oiftenistis If ai. en r-urhecetit fa. Sadù'e^ . !d , J^iaime. de rosette venir re^'éuûi^ ie ùûut&ii C - ^.ntrééx d^ Serrtire de dejv^ùt i/arte' 'Si . J*Lihne <^ta rsti^^rmé /e iftis dUn l'et a ^aj'cu-ie £ . Jfiuyeite a lu^aoe dey p<'*ri-ejr a pLicoJ'd deir arandeir cr^tse/s F . Bouton. -t JDeiix aiitivs R-'h'iii.-^.r ctl' fil- p^--iij- p^njiv Jar JE nj-^f^iuir ^i laiifyttij., Ifff.'fiA'' p*7i' M . ./,' c avi///.'y C.MS.C.jyL. i^tiitu' pé3r iSu\—i^^4.'L^/~''i/ùjzu CUVILLIES 75 37:24 SaiLlli,^ ' ■'■'""'" '-^'-^ ^^'^■^■■■'-■'--' '■■y TJiuftue^ ifJi- ScuJp- et e-x. rxt^ tde^ .i^ajAuruu: C.P. R . HUQUIER 76 32:21 Jniu^nft?' JJ^U' -F. .J^' Cui'i//tJ^ c.:p.S:C.jyL. .iratur JJ.it- C.A..cU Jii^f/^MÙ-z. CUVILLIES 77 !.< 37 : 24 lui^uu-i- m fcalp eu c^. C /'.li 5 pr.rij nu /' ir,r: HUQUiER 78 35:24 HUQUIER 79 35:24 c fiutt llricrv àœzne/^ cico o/?ozoc/ Lihrey J dey L drcÂrièecCey^ f^i czicco iDccJ neuA^e^o àcy Ùju i^ciricùcy Ji^ nccG^^cùrey pour n uzcrcy daru^ tozcà lc<^ ClrtJ . X<^ Oertley pcai^ lÙ JYxic^rij^^ de^x^ e^ztroA^Cdr, et D 'elrcy en/erTn^, claruf ùz^nH^orv Dc^ realc^ . /to j^eroilccy pcuJ cùtu^c/^ j'orvoœuÀy/cMycrue^ dcy meltrey ded^ oomc^ OyUZy i.rpÂfer^oDo»asM CHEDEL 93 24: 16 Ti tVTujncAv Setup. PILLEMENT 94 3b :2b ^-:?f^' '.«^-"^. PILLEMENT 95 36:2b PILLEMENT 96 3b: 25 PILLEAAENT 97 36:25 PILLEIWENT 98 33 : 24 é jU-jii. -w.i.^ }3 •"•» /«/7W PILLEMENT 99 33:24 PILLEMENT 100 31 :21 PILLEMENT 101 31 :21 PILLEMENT 102 3fa:25 PILLEMENT 103 36 : 25 J. P'U^nuTtt J-ir tt-ii JJ Ai-ril i\:t^ . PILLEMENT 104 36:25 J. J. ^vril JaJp ■ PILLEAAENT 105 36:25 J>utMfarûimrdJru/f'tnir,etf'rafi/jair,paur l/Ornarunt L/ravc/for Q^/nariaiu I ruriâ ■ fy vend aParir duj- L'auOur rue, de- la J'e/eari^ chez /MitairraeMùi Ffù/rif j L i/n/if . ^tu Tninvll Jir BJlrl Je^ l'^r^in.r . tt ,jar 2 . f>lll^r J.,r ne .T.' Jmy/,,J. ^'rec rr.-j:h,i ,i, A': GIRARD 107 33:22 ic7-ré PIERRE 108 40:28 PIERRE 109 40:28 C.V. s. r.M.. i>tt:(fr ^ene S'frttt GOZ 112 29:18 -C' Odorat. "^er "^eritc^ . 'L,cs Juurs refuL'Jtt toufours uni, offi^rtahle. odau- &0 mtt %tn0 î>BJ* ^zruc^^ùè^ rtfe i^er^ ve*^^:txmsn. Et dxjruient de. la, ^uye. ; otv est .en, belle, humeur, f^Àtfi tftttn. ttù£ looo . ^uS^Çier) ^fumert {tcq^9eph^^ C,t iJTL se, peut toiifour.f , cairinte, il, faut , JiMertir, ^st tf!Ht^i>ati pflfeT'mtt^Itf ein \e^(ntgë îveit^ Mwf^ QuAind, on, dan.f luv furdùv les Jlcurs peut ctuUlir. '^tefeivett p^o^ua aies itnt» mle^èî' 't'r-ftn. 3it tneciîett . QOZ 113 29 18 ii'ili'lH-iiiiliill-ilili ^00 ^^cf^ . Cha/^Vau/^ h.r-s du cocu. ir^U e^ md^h^lup^ .^ ^^ ^ '^^t^T^C^ Jll^^i^Za. V^ . JZa, Ct iMispirc GÔZ 114 2^: 18 ■=oe Qout. aoz 115 29: 18 $:^ , trv^ff^ t^w^nneut; GOZ 116 29:18 Go^.'Ètm. . G-oz ùw . et. sadps ïsVt hwnaJUs grains, credds mUvi/tertçport cùziM ^VÔttl Deus TuoLc hcmzùzeni sarcpcp amarc solA Gratus ac interrcu est sanpa- mortaZibiLS iRe. , Ac j)bst rnortarrh Hbb magmis Oîtfrnpuj- ait'. aôz 117 29:18 ^ &Strn^nfff ffïn. JfUlcr-£. £ Jrvc*écf^ ar'hd.\ ce la, /^ Vie., humazru. ■1 "f.O-Mr~ -i ^J'f' 't-AroJ^ f NILSON 140 27 ; 2C» gA^ QjcLçcm rnoocrwe^ o uru^ (^ortE oc SaJps'- et^^c^uà -.r-'éua. T.' NILSON 141 27 :20 a. J^tj^inx. ^jra3>e- far cf. .ar£^.'^i^ (rrKas hume. =^F ^^^ Jmznock jmnCei^ f HABERMANN 156 30:20 ■ ^r:Xav:£[alyermaii,-atu> etclel TLS^l. Ioh.:GeorgJIertet acc^-Aita.T? J HABERMANN 157 30:20 HAHERM.ANN 158 20:30 HABERMANN 159 20 : 30 J^' (fjstèJ lerent. WîuJisnniJi', -nw. '^el. et- SaJft. loh. Gerrq Hertel, ecccu?. -^itç- T^i?- WACHSMUTH IbO 30 ; I 0 lerem . Wâchsrmiav, inv. "del. ât SaJp. Toh . Geara Hertel, earciîd. ^uj/ Jrn?. WACHSMUTH 161 ■ -30: 19 ' {,'{ . r? ;:,7 vt,nrHt ini- il'l ri' /?,*//— UîllS. r,'h Cr,\rt\j TTerrJ . f.vc .^«,7 7' WACHSMUTH 162 30 : 20 Jer. W£Lchsm2iâi,jm7. deL. et t.7-i-irr-t/ Jjcrttu. , aTCtJn--/4 .T. WACHSMUTH 163 30:20 Ici W^LchmwA.-inv €t Sel. 'TUiéS .' Jok. Gccrro JTtrtel , ej:c ■ -^u^ T'^ul . WACHSMUTH 164 30:20 ^{^^âuJisnadfL, nW. et del. 4, 71^14^4. Jjyli- Geirrj Jlertel, AXr^.-Ait^. V. WACHSMUTH 165 30:20 NJZ8 ^^^^ S67 ^^^^^^^^^^^'^m^'^^ 1er WaAs77T.u'zt ^. rtAn/i ti> t-^tU^ e^/^a^atn^n/r^' ■ LOCK 172 29: 18 QLAZIER 173 29:18 N" c^. ^e<^/t S^ _"V J /^(^{f/(c<7Je^ 2 £_i 1 _ " ^ ^^ 'A ffî / ^ ( ^Ai/i/ifii^a/f inf i-t i/f/ ////• '' oai>rt/in.f ff i7,-f (^ /'/7r//,/////n/ I7J3 JD.ir/i/ ■^'m//i CHIPPENDALE 174 35 22 :n""SSS. YLJ . ' ^' ^ ^f/yMiHc/alc' /niJfcû<Â'6 . --i^e//'^cj/i^'ac<»ri!//>ia.à> t:^lc^<7/j2f/i//'ai/u-jii^ I7jç ^t^v/^'ri/cu^ ■ CHIPPENDALE 175 35:22 ^n3 &4 CHIPPENDALE 176 22 : 35 < CHIPPENDALE 177 22 : 35 CHIPPENDALE 178 22:35 CHIPPENDALE 179 22:35 pufeXEm. 9 u/éM UiÙJCJ^^ 'ff.-%yiite tnr/et t/e/tn. / lOMrAj^Mv4'i ^Mr/u^MvM. INCE 180 35:22 Plate, :sxr. / ■/ I I I M M I I I I '(i.Tfnce- tnv^e/: tàl'. ^Dar/t r^ jC4i/iD. INCE 181 35:22 Plate IX . ^^'fn ,ll\ 7mr iiir.'if Mm ■ y)ariu iirii/i). INCE 182 35:22 Haie X . o?. ^di///'/^/M- (y//fua.. Il . ,'/itcr ////■f't-/' t/i///l .' '/y .t€MA. lyiOarlu .u:mA. INCE 183 35:22 -I I I I I I I I I I I I F Tfau/if/f t-nvtft/fùii . Wiir//ii .u'aZ/t MAYHEW 184 35:22 I I I I I I I I I I I I p i-yf/c/y/te//' //ir'rrf/r/ . "^^Dai-ù^cu^o MAYHEW 185 35:22 ./; Ji >-gk-'— * é^f ^r*^ >r'^ r^.jâ'— m3»"a. '^^^^'S^^ ISCE 186 35:22 t^'^^////4'./ r> ^^■'/U77d //> INCE 187 35:22 MAYHEW & INCE 188 25:35 ^ t s 1 INCE 189 22 : 35 ANONYM 190 34 : 27 ANONYM 191 34:27 ^ ANONYM 192 33:27 ANONYM 193 33:27 1^3-2.-3 ZEE.S. AMICONI 194 33:21 :/^t>o T^^rt^y- Mï- Vin^xùi ■ AMICONi 195 52:34 AMICONI 196 35 : 45 ^^ AMICONI 197 35:46 (b 10 'O Ç.lPaath-r- •■l'en : AMICONI 198 48:33 )(i ■' iro if ^^anrnet l^n.'"' AMICONI 199 48:33 n-s C-X- -iiiMcrv. JCMaUànJpK C. L 200 35 : 27